06/05/2016
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme
Ecrit en 1927, ce récit d'une femme en une journée a été inspirée par Vingt-quatre heures d'une femme sensible (1824) de Constance de Théis (1767-1845). Début du XXème. Une petite pension sur la Riveria. Le départ de la femme d'un des pensionnaires avec un jeune homme de passage sème la consternation et l'effroi. Seule prendra sa défense une vieille dame anglaise distinguée. Ce fait divers lui a en effet rappelé un douloureux souvenir sentimental de jeunesse. On retrouve ici Zweig et son décryptage "clinique" des débordements sentimentaux exacerbés. N. nous explique la structure de cette nouvelle et émet une réserve concernant ces personnages zweigiens "trop cliniques".
J. N
Stefan Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Le Livre de Poche, 2012, 127 p.
23:57 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stefan zweig, vingt-quatre heures de la vie d'une femme
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