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10/01/2009

24: Redemption

24 redemption.jpgAlors que le premier épisode de la saison 7 de 24 sera diffusé le 12 janvier 2009, le film intitulé 24: Redemption (sorti aux Etats-Unis le 23 novembre 2008) propose un pont entre les saisons 6 et 7. Parti en clandestinité lors du dernier épisode de la dernière saison, Jack Bauer (Kiefer Sutherland) s'estc tourné vers l'Afrique et l'humanitaire. Avec son ami Carl Benton (Robert Carlyle), un autre repenti du contre-espionnage, ils aident à la scolarisation de jeunes garçons. Seulement, la guerre civile guette et les seigneurs de la guerre locaux entendent bien lever une armée d'enfants soldats. Bauer devra donc comme à son habitude défendre ces enfants au péril de sa vie. Dans le même temps à Washington, nous sommes en pleine transition à la Maison-Blanche. Le président sortant Noah Daniels (Powers Boothe) cède la place à la première femme élue à la présidence des Etats-Unis. Et nous découvrons qu'en finançant un génocide un Afrique, l'ancienne administration américaine a délibérément plombé le nouveau gouvernement. Ce qui nous fait curieusement penser à ce qui se passe actuellement dans la Bande de Gaza. Les actions d'Israël nécessitent toujours un feu vert américain. Alors que nous sommes en pleine transition aux USA (Obama prendra ses fonctions le 20 janvier), l'ex-administration Bush a courcircuité d'avance le président nouvellement élu.

24: Redemption (Jon Cassar, USA, 2008, 98 mins).   Avec Kiefer Sutherland, Robert Carlyle, Powers Boothe, Gil Bellows, Cherry Jones, Jon Voight, Colm Feore, Peter MacNicol.

- 1 nomination (Meilleur acteur dans un film télévisuel - Kiefer Sutherland) - Golden Globe 2009.

05/12/2007

28 weeks later

959854054.jpgLa suite de 28 days later (Danny Boyle, 2002) a été réalisée par Juan Carlos Fernasdillo (Goya du meilleur nouveau réalisateur pour Intacto, 2001), Danny Boyle étant resté aux commandes de la production. Six mois après que les habitants du Royaume-Uni aient été dévastés par un étrange virus, la vie reprend petit à petit à Londres grâce à l'aide de l'armée américaine. L'épidémie semble avoir été contenue. Un des survivants, Don (Robert Carlyle) est à nouveau réuni avec son fils Andy et sa fille Tammy. Andy n'a que douze ans, ce qui en fait l'humain le plus jeune du pays, tout comme l'était Diego, 18 ans, dans Children of men (d'où l'interrogation commune : et si les humains étaient incapables de se reproduire ?). Six mois plus tôt, Don avait perdu sa femme, obligé de l'abandonner pour sauver sa peau d'une horde de zombies. Mais voilà qu'elle réapparait,  vivante. Porteuse du virus, elle n'est pourtant pas "malade" (même cas de figure pour Marilyn Chambers aka Rose dans Rabid (1977) de David Cronenberg). Il faut quand même l'éliminer car elle est contagieuse. Ce film aux multiples facettes est ce qui s'est fait de mieux en matière de films de zombies depuis George A. Romero. Mêlant psychose de l'après-11 septembre (ou la menace d'une attaque chimique de grande envergure) et paranoïa urbaine à l'horrifique, tout en maintenant une tension persistante (on ne sait jamais ce qui va arriver à qui) alternant avec une caméra bougrement agitée (de quoi vous foutre la panique) , 28 weeks later brouille les conventions et ne laisse aucune chance de sursis au spectateur. C'est un film sombre, très sombre jusqu'au bout. Assurément le meilleur film d'horreur de l'année 2007.

28 weeks later (Juan Carlos Fresnadillo, UK, 2007, 100 mins).   Avec Robert Carlyle, Rose Byrne, Jeremy Renner, Catherine McCormack.

- 1 nomination (Meilleur film d'horreur) - Empire Awards (UK) 2008.

- 2 nominations - British Independent Film Awards 2007.