free website counter html
free website counter html

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/06/2013

Welcome to the Punch

welcome to the punch,james mcavoy,mark strong,david morrissey,daniel mays,peter mulan,andrea riseborough,robert portal,eran creevyAncien braqueur professionnel, traqué en vain par la police anglaise, Jacob Sternwood (Mark Strong) est contraint de quitter sa planque islandaise et rentrer à Londres aider son fils, embarqué dans un coup foireux. L'occasion pour l'inspecteur de police Max Lewinsky (James McAvoy) de mettre enfin le grapin sur celui qui pourchasse depuis des lustres. Mais ce qui devait être un plan simple (la capture d'un malfrat) s'avère être bien plus compliqué que prévu, lorsque la politique s'en mêle. Au dépassement du paradigme obscolète bon/mauvais vient donc s'ajouter magouilles politiques et jeux de pouvoir. Les deux personnages complexes devront vraisemblablement coopérer bien malgré eux afin de survivre. A l'excellent casting (en plus de la confrontation McAvoy/Strong, signalons les présences d'Andrea Riseborough et de David Morrissey, vus respectivement dans Oblivion et la saison 3 de The Walking Dead), nous noterons une excellente bande-son et une belle mise en scène. Ce polar british ne transcende pas le genre mais demeure solide et bien ficelé.  J. N

Welcome to the punch (Eran Creevy, UK, 2013, 100 min).   Avec James McAvoy, Mark Strong, Andrea Riseborough, Peter Mulan, David Morrissey, Daniel Mays, Robert Portal.

26/04/2013

Oblivion

oblivion,joseph kosinski,tron legacy,tom cruise,olga kurylenko,andrea riseborough,morgan freeman,nikolaj coster-waldau,melissa leo,zoe bell,dystopie,science-fictionEntre deux Tron (réalisateur de Tron Legacy en 2010 et de sa future suite en 2014), Joseph Kosinski adapte ici son propre roman graphique (au titre éponyme), co-créé avec Arvid Nelson. En 2077, Jack Harper (Tom Cruise), vivant dans une station au dessus des nuages avec sa collègue et compagne Victoria (Andrea Riseborough), est chargé de l'entretien des drones disséminés sur terre pour extraire les matières premières nécessaires à la survie de l'homme. En effet, après des décennies de guerre entre extra-terrestres et humains, ces derniers sont contraints de quitter bientôt leur planète pour rejoindre Titan, une planète éloignée, nouvelle terre promise. Mais voilà qu'un jour, après avoir été témoin d'un crash d'une vaisseau spatial, il réalise que les choses ne sont pas ce qu'elles semblent être...

Parallèlement à la vague actuelle de films de super-héros, est donc en train de poindre celle de la science-fiction. Oblivion prend la suite de Tron Legacy (2010) et Promotheus (2012) avant d'être relayé bientôt par un raz-de-marée, soit World War Z (Marc Forster, 2013), Elysium (Neill Blomkamp, 2013), After Earth (M. Night Shyamalan, 2013), Star Trek into Darkness (J. J Abrams, 2013), All you need is kill (Doug Liman, 2014)... Tous ces longs métrages traitent d'ailleurs d'une même thématique - qui n'est pas nouvelle -, la peur d'une extinction de la race humaine. La question était donc de savoir si ce film allait sortir des sentier battus, au sein d'un genre largement exploité sur grand écran. Si l'étonnant District 9 (2009) avait réussi la prouesse de transcender le film de science-fiction, le constat ici est moins enthousiasmant. De l'apparition ultra-classique d'un vaisseau géant suspendu au dessus de la terre (Independence day, 1996 ; District 9), symbolique prise d'un roman phare d'Arthur C. Clarke, à la gestion de la planète par un ordinateur tout aussi gigantesque, en passant par les drones traqueurs d'humains (Matrix, 1999), autant de thèmes éculés. S'il y a une belle ampleur visuelle, sur fond d'univers aseptisé, le scénario, manquant cruellement de rythme et encombré de rebondissements prévisibles et de débordements sentimentaux convenus, demeure ultra-classique jusqu'au bout malgré la dimension (faussement) contemplative. En gros, le film ne renouvelle en rien le genre mais demeure une "bonne distraction SF".  J. N

 

Oblivion (Joseph Kosinski, USA, 2013, 124 min). Avec Tom Cruise, Olga Kurylenko, Andrea Riseborough, Morgan Freeman, Nikolaj Coster-Waldau, Melissa Leo, Zoe Bell.