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10/03/2008

Transnistrie

1542328248.pngRetour à notre rubrique sur les drapeaux. Nous avons opté ici pour celui d'un Etat qui n'est pas reconnu par la communauté internationale et qui existe pourtant comme tel. La Transnistrie (4118 km², 750.000 habitants) possède sa propre constitution, sa monnaie, son hymne, un Parlement...etc. Et donc un drapeau. Cette République, coincée entre l'Ukraine et la Moldavie (elle-même se trouvant entre l'Ukraine et la Roumanie), s'est séparée de cette dernière en 1990, après que les autorités moldaves légales eurent déclaré la langue roumaine comme officielle. De peur que la Moldavie se rattache à la Roumanie voisine, la région de Transnistrie (située à l'est du fleuve Dniestr), dont la population est à majorité russe, s'est donc détachée de celle-ci. Une guerre civile a éclaté en 1992. La Transnistrie a pu sauvegarder ses intérêts grâce à l'appui de la 14ème armée russe stationnée en permanence sur son sol. Le conflit n'est toujours pas réglé. Un statu quo prévaut. Cette entité (capitale : Tiraspol) n'est reconnue par aucun Etat (y compris la Russie). La "République Moldave de Transnistrie" a adopté son drapeau officiel le 25 juillet 2000. Elle a en fait préservé l'ancien drapeau de la "République soviétique de Moldavie" mais en a ôté les emblêmes soviétiques (faucille, marteau), qui se trouvaient en haut, à l'extrémité gauche. Les autorités ont gardé ce drapeau pour souligner l'héritage historique de la Transnistrie. Les emblêmes soviétiques ont été supprimés pour marquer la non-adhésion au communisme ou au soviétisme. Tous les drapeaux des ex-républiques soviétiques possédaient la couleur rouge, symbole du communisme et de la Révolution de 1917. Mais que représente donc la couleur verte ? Voici une question à laquelle nous n'avons pas trouvé de réponse, malgré la consultation de nombreux sites, officiels et autres. J. N

08/03/2008

Dieu

"Si Dieu existait, cela se saurait."

   Michel Contat

10:00 Publié dans Citation | Lien permanent | Commentaires (0)

07/03/2008

Les faussaires

1200216406.jpgBerlin. 1936. Salomon Sorowitsch est le roi de la contrefaçon. Passeports, certificats, billets de manque, rien ne manque à son palmarès. Son business est florissant et il coule des jours heureux. Mais trahi, il est arrêté par la Gestapo. Quelques années plus tard, la guerre fait rage. Malmenée sur tous les fronts, l'Allemagne nazie met en place la plus grande opération de falsification de billets du siècle, "Opération Bernhard". Le but est d'innonder de faux billets l'économie des pays alliés afin qu'elle s'écroule. Sorowitsh est donc transféré de Mauthausen au camp de Sachsenhausen où les détenus bénéficient d'un traitement de faveur. Lui et ses compagnons, tous experts en falsification, Sorowitsh est chargé d'imprimer des devises étrangères à grande échelle. Autrement, ils seront exécutés. Entre examen de conscience, sentiment de culpabilité et instinct de survie, "Sally" et les autres vont devoir lutter contre eux-mêmes. Sauver leur peau ou saboter l'opération ? L'expérience les marquera dans leur douleur, à jamais, pour la vie... Si l'histoire racontée est fascinante (on en apprend des choses), la mise en scène demeure classique (mais y a-t-il vraiment un mal à cela ?), une première scène qui marque la fin de la guerre, suivie du classique flashback. Mais l'essentiel est là, Stefan Ruzowitzky (il adapte le livre écrit par Adolf Burger, un des faussaires du camp de Sachsenhausen) ébauche sans complaisance un épisode de l'univers concentrationnaire, le tout porté par des comédiens exceptionnels, notamment Karl Markovics (aka Salomon Sorowitsch). On peut toutefois reprocher une musique trop joyeuse pour une atmosphère aussi sombre. Quant à l'Oscar du meilleur film étranger, décroché lors de la cérémonie des Oscars 2008, il est peut-être légérèment exagéré.

Les faussaires (Stefan Ruzowitzky, All/Aut, 2006, 100 mins).    Avec Karl Markovics, August Diehl, Devid Striesow, Marie Baumer, Andreas Schmidt, Martin Brambach, Veit Stübner. 

- Meilleur film étranger - Oscars 2008.

- Meilleur acteur dans un second rôle - Devid Streisow - German Film Awards 2007.

- Présenté - Festival de Toronto 2007.

- Présenté - Festival de Vancouver 2007.

- Présenté - Festival de Karlovy 2007.

- Présenté - Festival de Palm Springs 2007.

Coupe de l'UEFA - 8èmes

1583369170.jpgVictoire mutilée pour l'OM, le Bayern en Quarts 

Marseille méritait certainement mieux que 3-1 face au Zénith de Saint-Pétersbourg. La démonstration offensive  des olympiens était tellement impressionnante (Valbuena flanboyant, Cissé et Niang très bons) et la défense adverse tellement dépassée (notamment l'arrière gauche coréen Kim) qu'un score de 4 ou 5-0 n'aurait pas été immérité. Mais voilà, une déconcentration coupable en fin de match (et on se demande si Zubar était endormi sur l'accélération de ce diable de Arshavin, buteur il y a 2 ans contre Marseille au Vélodrome) gache une soirée qui était parfaite jusqu'ici. 3-1 n'est pas 3-0. Et quand on sait que Marseille a souffert au tour précédent face au Spartak Moscou (3-0 au Vélodrome, 0-2 et des frayeurs au retour), on s'attend à un match compliqué mercredi prochain en Russie. Les Olympiens sont de même prévenus. Il faudra sortir un très gros match (tactique). Perdre 2-0 sera synonyme d'élimination cette fois-ci. Tout reste à faire et le suspense sera au rendez-vous.

Le bilan des 7 autres rencontres voit le Bayern Munich déja en quarts, après avoir écrasé Anderlecht en Belgique (5-0). Presque tous les joeurs offensifs ont marqué (dont Ribery). L'expulsion du défenseur Wasilewski (2 avertissements) juste avant la pause a facilité la tâche des Bavarois. Il y aura donc au moins 2 clubs allemands en quarts puisqu'un duel fratricide a opposé Leverkusen à Hambourg (1-0). Getafe (2-1 à Benfica) et Eindhoven (1-0 à Tottenham) prennent une "mini-option" pour la qualification. Tout reste à faire entre Bolton et le Sporting Portugal (1-1) même si l'équipe lisboète a l'avantage du but inscrit à l'extérieur. Les Rangers et la Fiorentina ont réussi le score parfait (2-0), respectivement contre le Werder Brême et Everton.

Marseille : Mandanda - Bonnart, Faty (Zubar, 44e), Givet, Taïwo - M'Bami, Nasri (Kaboré, 89e), Cheyrou - Valbuena, Cissé, Niang (Zenden, 62e).

Zénith : Malafeev - Anyukov, Gorshkov, Krizavac, Kim - Ricksen (Denisov, 70e), Tymoshchuk, Zyrianov, Faizulin (Radimov, 80e) - Arshavin, Pogrebnyak.

Jeudi 06 mars 2008 :  

Anderlecht (Bel) - Bayern Munich (All) 0-5 : Ham. Altintop (9e), Toni (45e), Podolski (57e), Klose (67e), Ribery (86e).

Fiorentina (Ita) - Everton (Ang) 2-0 : Kuzmanovic (69e), Montolivo (81e).

Marseille (Fr) - Zénith Saint-Pétersbourg (Rus) : Cissé (38e, 57e), Niang (48e) ; Arshavin (83e).

Glasgow Rangers (Eco) - Werder Brême (All) 2-0 : Cousin (45e), Davis (47e).

Bolton (Ang) - Sporting Lisbonne (Por) 1-1 : McCann (25e) ; Vukcevic (69e).

Bayer Leverkusen (All) - Hambourg (All) 1-0 : Gekas (77e).

Tottenham (Ang) - PSV Eindhoven (P-B) 0-1 : Farfan (34e).

Benfica (Por) - Getafe (Esp) 0-1 : De la Red (25e).

06/03/2008

Champions League - 8èmes

1502474475.jpgMilan et Madrid à la trappe, Lyon éliminé sans gloire 

Faute d'avoir osé, Lyon est donc logiquement éliminé par Manchester United (1-0). Alors qu'ils étaient venus à Old Trafford pour tenter de réaliser un exploit, les hommes d'Alain Perrin n'ont jamais vraiment tenté et se sont inclinés sur un nouveau (petit) exploit de Cristiano Ronaldo, qui fusillait Coupet dans un trou de souris (41e). Alors qu'ils étaient dans l'obligation de marquer, après le (1-1) du match aller, les Lyonnais ont attendu Manchester, bien supérieur techniquement. Mais les Red Devils n'ont jamais été pris à défaut. Quand Lyon a enfin décidé de réagir en fin de rencontre, il était trop tard. Résultat : élimination et regrets.

Déja vainqueur en Ecosse (3-2), Barcelone a tranquilement géré son match contre le Celtic Glasgow après le but marqué par Xavi en tout début de rencontre (3e). A Milan, les Rossoneri ont été piégés en fin de match par une enthousiaste équipe de Arsenal (2-0). Après Barcelone en 2007, Liverpool en 2006 et Porto en 2005, c'est la 4ème année de suite que le tenant du titre est éliminé l'année suivante dès les hutièmes de finale. Défait à l'aller (3-2), Séville s'est imposé sur le même score au match retour, face à Fenerbahçe. Les 2 buts marqués à l'extérieur n'ont finalement pas été bénéfiques aux Espagnols. La partie s'est conclue aux tirs aux buts, à l'avantage des Turcs qui sont les invités surprise des quarts de finale.

Deuxième surprise de la soirée, le Real Madrid de Robinho et compagnie est éliminé dès les 8èmes, comme les 3 dernières années. La faute à une équipe de Rome éblouissante. Alors que le défenseur portugais Pepe était expulsé (71e), le Real, privé de Van Nistelrooy, Snejder et Robben (tous blessés) et de Sergio Ramos (suspendu) parvenait à égaliser (Raul, 61ème but en champions league) juste après l'ouverture du score par Taddei (73e). Mais à 10 contre 11, les Madrilènes encaissaient un but dans les arrêts de jeu par Vucinic. Schalke et Porto n'ont pu se départager après 180 minutes. Chaque équipe l'avait emporté (1-0) à domicile. A l'issue des prolongations, Schalke a gagné la séance des tirs aux but et accède pour la première fois de son histoire aux quarts de finale. Aucun souci pour Chelsea contre les Grecs de l'Olympiakos (3-0). Inter Milan-Liverpool (2-0 pour les Anglais au match aller) a été reporté au 11 mars en raison du match AC Milan-Arsenal.

En gras les équipes qualifiées pour les quarts de finale. Entre parenthèses le score du match aller. 

 

Mardi 04 mars 2008 :

Manchester United (Ang) - Lyon (Fr) 1-0 (1-1) : Cristiano Ronaldo (41e).

AC Milan (Ita) - Arsenal (Ang) 0-2 (0-0) : Fabregas (85e), Adebayor (90e+3).

FC Barcelone (Esp) - Celtic Glasgow (Eco) 1-0 (3-2) : Xavi (3e).

FC Séville (Esp) - Fenerbahçe (Tur) 3-2 a.p (2-3 t.a.b) (2-3) : Alves (5e), Sey. Keita (9e), Kanouté (41e) ; Deivid (21e, 79e).

 

Mercredi 05 mars 2008 :

Real Madrid (Esp) - AS Roma (Ita) 1-2 (1-2) : Raul (75e) ; Taddei (73e), Vucinic (90e+3).

Porto (Por) - Schalke 04 (All) 1-0 a.p (1-4 t.a.b) (0-1) : Lisandro Lopez (88e)

Chelsea (Ang) - Olympiakos (Gre) 3-0 (0-0) : Ballack (5e), Lampard (25e), Kalou (48e).

Inter Milan (Ita) - Liverpool (Ang) (0-2) : 11 mars 2008.