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27/06/2008

EURO 2008 : Russie - Espagne 0-3

d9dc5ca886dc25f8570ccaffc9b68bd7.jpgL'Espagne facile

C'est finalement en remportant sa demi-finale très facilement que l'Espagne atteint sa première finale d'une grande compétition, depuis 24 ans. Face à une équipe russe timorée et qui fut l'ombre de la déferlante qui balaya samedi dernier les Pays-Bas en quarts (3-1), les joueurs de Luis Aragones n'ont pas eu à forcer le talent, même si la délivrance ne survint qu'après le repos. Grâce aux milieux barcelonais Iniesta et Xavi, les Ibériques construirent tranquilement mais surement leur victoire. Le second cité taclait dans les buts un centre-tir du premier, le ballon passant entre les pieds de Akinfeev. C'est ensuite, l'attaquant de Majorque, Güiza, meilleur buteur de Liga, qui marquait après un joil mouvement collectif (73e). Puis le feu follet Silva contrôlait suite à un centre de Fabregas (passeur également sur le second but) et fusillait tranquilement le malheureux gardien. Tétanisés par la pression et déja balayés par l'Espagne lors du premier tour (4-1), les Russes ne sont jamais parvenus à émerger durant ce match.

La finale, inédite, opposera dimanche la technique espagnole au physique allemand.

JEUDI 26 JUIN :

RUSSIE - ESPAGNE 0-3

Buts : Xavi (50e), Güiza (73e), Silva (82e).

Avertissements : Zhirkov (57e), Bilyaletdinov (60e).

Russie : Akinfeev - Anyukov, Ignashevitch, Berezoutski,  Zhirkov  - Saenko (Saenko, 57e), Semak (cap.), Semshov (Bilyaletdinov, 56e), Zyryanov  - Arshavin - Pavlyuchenko.

Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Puyol, Marchena, Capdevila - Iniesta (Cazorla, 59e), Senna, Xavi (Xavi Alonso, 69e), Silva - Villa (Fabregas, 34e), Fernando Torres (Güiza, 69e).

23/06/2008

EURO 2008 : Espagne - Italie 0-0 a.p (4-2 t.a.b)

2017821210.jpgL'Espagne franchit un cap

En éliminant hier l'Italie en quarts de finale, l'Espagne atteint pour la première fois depuis 1984 une demi-finale d'une grande compétition. Cette année, les Ibériques s'étaient inclinés en finale de l'Euro face à la France (on se souvient bien de l'erreur d'Arconada). Une belle récompense pour cette sélection toujours bien placée mais qui n'arrivait jamais à se surpasser lors des matchs cruciaux. En 2006, l'Espagne était considérée comme un outsider pour la victoire finale. Un brin arrogants et pas assez expérimentés, les joueurs de Luis Aragones s'étaient cassés les dents face à la France en huitièmes (1-3). Aujourd'hui, les joueurs ont deux ans de plus et l'équipe a mûri. Dans ce match plutôt soporifique (1 occasion franche de chaque côté), Fernando Torres et compagnie ont souffert face à une équipe italienne qui a fermé le jeu. Direction les tirs aux buts. Si Güiza a loupé son tir côté espagnol, deux joueurs italiens ont manqué leur tentative côté italien.  De Rossi (qui avait marqué son tir au but en 2006 contre la France en finale) et Di Natale (qui n'aurait peut-être pas du tirer, vu qu'il était conspué en permanence par le public) ont vu leurs tirs repoussés par Casillas. Comme quoi, on ne peut pas toujours gagner aux tirs aux buts. L'Italie l'avait fait en finale de Coupe du monde 2006, l'Espagne s'était inclinée en quarts de finale (contre la Corée) lors du mondial 2002... Si le résultat est étriqué, la victoire finale espagnole demeure logique, dans la mesure où c'est l'équipe qui a pratiqué un meilleur football durant la compétition qui l'a emporté. En effet, l'Italie n'a rien prouvé, lors de cet Euro, mis à part une bonne rigueur tactique par moments. Elle aura marqué 3 buts et encaissé 4, remporté 1 match pour 2 matchs nul et 1 défaite, statistique indigne pour équipe qui est tout de même championne du monde en titre.

dddddddddd.jpgDIMANCHE 22 JUIN :

ESPAGNE - ITALIE 0-0 a.p (4-2, tirs aux buts)

Avertissements : Iniesta (11e), Villa (72e), Cazorla (113e) pour l'Espagne ; Ambrosini (31e) pour l'Italie.

Tirs aux buts : Villa, Cazorla, Senna, Güiza (manqué), Fabregas pour l'Espagne ; Grosso, De Rossi (manqué), Camoranesi, Di Natale (manqué) pour l'Italie.

Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Marchena, Puyol, Capdevila - Iniesta (Cazorla, 59e), Senna, Xavi (Fabregas, 59e), Silva - Fernando Torres (Güiza, 85e), Villa. 

Italie : Buffon (cap.) - Zambrotta, Panucci, Chiellini, Grosso - Aquilani (Del Piero, 108e), De Rossi, Ambrosini - Perrotta (Camoranesi, 58e) - Toni, Cassano (Di Natale, 75e).

19/06/2008

EURO 2008 - Quarts de finale

euro 2008.jpgAlors que les quarts de finale de l'Euro débutent tout à l'heure (Portugal-Allemagne), retour sur la dernière confrontation qui opposa les équipes qui s'affrontent (lors d'une phase finale d'une grande compétition) :  

Portugal - Allemagne (19 juin) : C'est le remake du match comptant pour la 3ème place lors de la Coupe du monde 2006. Devant leur public, les Allemands l'emportèrent nettement (3-1) grâce notamment à un doublé de Bastian Schweinsteiger. Titulaire ce soir, celui-ci aimerait bien récidiver. Mais le Portugal version 2008 n'est plus celui de 2006 et les Allemands auront fort à faire face à la bande à Scolari. Réponse dans quelques heures.

Croatie - Turquie (20 juin) : Les deux équipes s'étaient affrontées lors du premier tour de l'Euro 96. Les Croates l'emportèrent dans les derniers instants (1-0) grâce à Goran Vlaovic, entré en cours de jeu.

Pays-Bas - Russie (21 juin) : L'équipe de Russie, existant sous cette appelation depuis 1992, ces deux équipes ne s'étaient pas encore affrontées en phase finale de compétition majeure. A l'Euro 92, les Pays-Bas et la "CEI" firent match nul (0-0) lors du premier tour (la Hollande finit première du groupe et la CEI dernière). Et comment ne pas oublier la finale de l'Euro 88 entre l'URSS et les Pays-Bas (0-2), Marco Van Basten marquant le deuxième but de son équipe d'une reprise de volée magistrale. Vingt ans plus tard, Van Basten sera cette fois sur le banc.

Espagne - Italie (22 juin) : On se souvient de ce fameux coup de coude assené par Mauro Tassotti à Luis Enrique (qui aura le nez cassé) dans la surface de réparation et dans les arrêts de jeu. Tassotti sera ensuite trahi par la vidéo et suspendu plusieurs matchs, ce qui scellera sa carrière internationale. En fin de rencontre, alors que le score était de (1-1), l'attaquant de Barcelone, Julio Salinas, eut l'occasion de tuer le match mais il manquait incroyablement son face à face avec Pagliuca ("la plus grande erreur de ma vie", affirmera-t-il par la suite). Tournant du match car Roberto Baggio donnait la victoire aux siens à la 87ème minute.

15/06/2008

EURO 2008 : Groupe D

grece.jpgL'Espagne qualifiée pour les quarts, le tenant grec éliminé...

La défaite ce soir de la Grèce face à la Russie (1-0), conjuguée à la victoire de l'Espagne contre la Suède (2-1) a scellé le sort des joueurs de Otto Rehhagel. Le champion en titre grec est éliminé de la compétition après avoir essuyé 2 défaites et sans avoir marqué le moindre but. Ce qui confirme que la victoire complètement innatendue il y a 4 ans lors de l'Euro 2004, s'il elle ne fut pas usurpée, fut bien un "accident". L'incapacité d'une équipe grecque limitée et en fin de cycle (à l'image de Nikopolidis qui rate complètement sa sortie sur le but russe) à passer le premier tour rappelle également la difficulté des champions en titre à défendre leur trophée 4 ans plus tard. Ce fut le cas du Danemark et de l'Allemagne, respectivement champions en 1992 et 1996 puis éliminés 4 ans plus tard lors du premier tour, mais aussi de la France, championne en 2000 puis éliminée en 2004 en quarts de finale (par la Grèce 1-0) après un premier tour laborieux.

espagne.jpgL'attaquant de Valence David Villa a offert la victoire à l'Espagne face à la Suède dans les arrêts de jeu (2-1). Ca marche fort pour Villa, auteur également d'un triplé face à la Russie lors du premier match (4-1). Mais ce qu'il faut retenir c'est que l'Espagne est qualfiée pour les quarts mais également assurée d'être première de son groupe, ce qui lui permet d'éviter de croiser les Pays-Bas (1ers du groupe C) en quarts de finale. Ces derniers affronteront soit la Suède soit la Russie qui vont en découdre jeudi prochain pour l'obtention de la seconde place. En cas de match nul, la Suède serait qualifiée puisqu'elle possède une meilleure différence de buts. La Russie est donc obligée de l'emporter pour accrocher les quarts.

 

espqgne 2.jpgSAMEDI 14 JUIN : 

Suède - Espagne 2-1 : Ibrahimovic (34e) ; Fernando Torres (15e), Villa (90e+2).

Suède : Isaksson - Stoor - Mellberg, Hansson, Nilsson - Elmander (S. Larsson, 79e), Anderson, Svensson, Ljungberg (cap.) - H. Larsson (Kallstrom, 86e), Ibrahimovic (Rosenberg, 46e).

Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Puyol (Albiol, 24e), Marchena, Capdevila - Iniesta (Cazorla, 59e), Xavi (Fabregas, 58e), Senna, Silva - Fernando Torres, Villa. 

 

semak.jpgGrèce - Russie 0-1 : Zyryanov (33e).

Grèce : Nikopolidis - Seitaridis (Karagounis, 40e), Dellas, Kyrgiakos, Torosidis - Katsouranis, Basinas (cap.), Patsatzoglou - Charisteas, Liberopoulos (Gekas, 60e), Amanatidis (Giannakopoulos, 79e).

Russie : Akinfeev - Anyukov, Kolodin, Ignashevitch, Zhirkov (Berezoutski, 87e) - Zyryanov, Semak (cap.), Semshov - Torbinskiy, Pavlyuchenko, Bilyaletdinov (Saenko, 70e).  

 

Classement : 1.Espagne 6 (+4) ; 2.Suède 3 (+1) ; 3.Russie 3 (-2) ; 4.Grèce 0 (-3).

11/06/2008

EURO 2008 : Groupe D

7022291f23edd082d2e6c9b959187f8a.jpgLa Suède débloque le verrou grec, l'Espagne corrige la Russie 

Difficile de voir une équipe qui aura pratiqué le même football à 4 ans d'intervalle. La défense de son titre de champion d'Europe (victoire en 2004 contre le Portugal) aura duré un peu plus de 60 minutes pour la Grèce. Zlatan Ibrahimovic en avait décidé autrement et sur une remise de son compère de l'attaque, Henrik Larsson, il fusillait le gardien Nikopolidis d'une frappe sublime des 20 mètres. 5 minutes plus tard, c'est le défenseur rennais Hansson qui corsait l'addition en marquant du genon suite à un mini-cafouillage. Le catenaccio pur et dur de Otto Rehhagel n'a donc pas fonctionné cette fois-ci. La Suède peut donc se féliciter de n'avoir jamais lâché face à une équipe qui est venu pour défendre et faire la passe à 10 (d'où les sifflets permanents pendant le match) et surtout d'avoir passé l'adversaire le plus coriace du groupe. Car la Russie et l'Espagne attaqueront, c'est certain. Ces deux équipes jouaient plus tôt en soirée et le score large (4-1) en faveur de l'Espagne démontre que les Ibériques sont toujours dangereux même s'ils n'ont rien prouvé depuis belle lurette. Mais soyons réalistes, si Fernando Torres et Villa (auteur d'un magnifique hat-trick) impressionnent, il ne faut pas oublier que l'adversaire du soir leur a facilité la tâche, notamment une défense complètement à la rue. A confirmer donc pour l'Espagne. On en saura plus samedi prochain sur les 2 vainqueurs de la soirée puisqu'ils se renontreront dans ce qui sera le sommet de ce groupe. 

espagne.jpgMARDI 10 JUIN :

Espagne - Russie 4-1 : Villa (20e, 45e, 74e), Fabregas (90e+1) ; Pavlyuchenko (86e).

Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Puyol, Marchena, Capdevila - Iniesta (Cazorla, 63e), Senna, Xavi, Silva (Xavi Alonso, 78e) - Villa, Fernando Torres (Fabregas, 54e).

Russie : Akinfeev - Anyukov, Shirokov, Kolodin, Zhirkov - Zyryanov, Semak (cap.), Semshov (Torbinskiy, 57e) - Sychev (Bystrov, 46e, Adamov, 70e), Pavlyuchenko, Bilyaletdinov.  

 

Grèce - Suède 0-2 : Ibrahimovic (67e), Hansson (72e).

Grèce : Nikopolidis - Seitaridis, Kyrgiakos, Antzas, Dellas (Amanatidis, 70e), Torosidis - Basinas (cap.), Katsouranis - Charisteas, Gekas (Samaras, 47e), Karagounis.

Suède : Isakson - Alexandersson (Stoor, 74e), Mellberg, Hansson, Nilsson - Wilhelmsson (Rosenberg, 78e), Svensson, D. Anderson, Ljungberg - Larsson, Ibrahimovic (Elmander, 71e).

 

Classement : 1.Espagne 3 (+3) ; 2.Suède 3 (+2) ; 3.Grèce 0 (-2) ; 4.Russie 0 (-3).