18/06/2008
EURO 2008 : Groupe C
L'Italie ok, la France out
On se souvient que le 09 juillet 2006, lors d'un débat sur Infosport entre spécialistes du ballon rond, un commentateur avait affirmé que l'après-Zidane serait très compliqué pour l'équipe de France, comme le fut l'après-Raymond Kopa et l'après-Platini. A ce commentaire, Lionel Charbonnier, présent sur le plateau, avait répondu "c'est très malheureux de parler comme ça". Eh bien, à l'heure où l'équipe de France vient d'être éliminée de l'Euro après 1 match nul et deux défaites, on réalise bien que cette personne (on ne se souvient plus qui c'était) a eu raison et que Charbonnier n'a jamais été un visionnaire. Car disons-le franchement, mis à part le France-Italie (3-1) de septembre 2006, les Tricolores n'ont jamais effectué une prestation probante depuis le départ à la retraite de Zidane. La fusion entre jeunes et vieux, voulue par Domenech, n'a pas fonctionné pour quelques raisons très simples. D'abord, 2 années est un laps de temps trop court. Ensuite, les jeunes (Benzema, Nasri et les autres) sont trop jeunes (20 ans) et les vieux sont trop vieux (Thuram, Makelele, voire Sagnol). On dit qu'une équipe se construit en 4 ans. Il fallait donc s'attendre à un échec des Bleus à l'Euro. Avec des joueurs talentueux (Flamini, Sagna, Clerc, L. Diarra, Benzema, Ben Arfa, Madanda) alliés à des valeurs sures (Evra, Henry, Ribéry, Toulalan), une équipe devrait par contre être prête pour le Mondial 2010, à condition bien sûr de passer la phase éliminatoire.
A l'heure de faire le bilan de l'Euro, les médias s'attèlent à expliquer l'échec des Bleus. Pour notre part, nous ne partirons pas dans des détails exhaustifs. Disons que l'équipe de France a manqué cruellement d'un fond de jeu et qu'elle n'était tout simplement pas assez compétitive, en comparaison aux autres équipes (Espagne, Portugal, Pays-Bas). On notera également un coaching très défecteux de la part de Raymond Domenech. Exemples :
1.Associer Anelka à Benzema lors de Roumanie-France (0-0) alors que ces deux-là n'ont presque jamais joué ensemble en équipe de France.
2.Titulariser Abibal et Malouda alors que ces deux-là n'ont plus le même rendement depuis leur départ de Lyon l'an passé (à Barcelone et à Chelsea). Après Roumanie-France, Abidal a été écarté (mais re-aligné dans l'axe contre l'Italie !) mais Malouda était quand même titulaire lors de Pays-Bas-France (4-1).
3.Trimbaler Ribéry du flanc gauche au flanc droit lors des deux premiers matchs.
4.Faire entrer en jeu Nasri à la 10ème minute lors de France-Italie (en remplacement de Ribéry, blessé) pour le refaire sortir suite à l'expulsion de Abidal, à la 26ème minute (bravo pour la confiance).
5.Faire entrer en cours de jeu un joueur très inexpérimenté comme Batefimbi Gomis, qui n'aura rien apporté à l'équipe, en raison d'un jeu trop lent.
Bref, les raisons sont nombreuses et si l'on ajoute que lors de France-Italie (0-2), le destin n'a pas aidé les Bleus (blessure de Ribéry, expulsion de Abidal) et l'arbitre tchèque Lubos Michel a franchement été très mauvais (on espère qu'il n'arbitrera pas la finale de l'Euro), on voit bien que ce n'était pas leurs soirée hier ni leur Euro d'ailleurs.
L'élimination de l'équipe de France n'est pas une véritable surprise car dans ce groupe de la mort, il fallait bien qu'une équipe parmi les Pays-Bas, la France et l'Italie soit éliminée. Ce qui a étonné par contre est la manière mais aussi la gestion des matchs des Bleus.
Sacré Van Basten
Après un début catastrophique, l'Italie s'en sort bien. En battant la France, l'Italie accroche la seconde place grâce au revers de la Roumanie contre les Pays-Bas. Il faut dire qu'on s'attendait à une victoire roumaine en raison du turn-over annonçé par Van Basten (les Pays-Bas étaient premiers du groupe quelque soit le résultat du match). On pensait également à un arrangement tacite entre Hollandais et Roumains puisque les Pays-Bas peuvent recroiser en demi-finale le second du groupe. Eh bien il n'en fut rien. En dépit de 9 changements opérés (même le gardien Van der Sar n'a pas été titulatisé), Van Basten a bluffé tout le monde. Son équipe a joué le jeu (félicitations donc pour l'impeccable état d'esprit) face à une équipe roumaine trop prétentieuse (on se souvient de propos de certains joueurs avant Italie-Roumanie) et qui a du penser que la vie serait facile face à l'équipe B de la Hollande. Les Bataves l'emportent (2-0) et renvoient les Roumains à leurs études.
En quarts de finale, les Pays-Bas affronteront soit la Suède soit la Russie (ces deux-là s'affrontent ce soir) et l'Italie jouera l'Espagne. Privés de Gattuso et Pirlo, les Transalpins ne seront pas à la fête face à Fernando Torres et compagnie.
MARDI 17 JUIN :
France - Italie 0-2 : Pirlo (26e s.p), De Rossi (62e).
Expulsion : Abidal (26e).
France : Coupet - Clerc, Gallas, Abidal, Evra - Toulalan, Makelele - Govou (Anelka, 66e), Benzema, Ribéry (Nasri, 10e, Boumsong, 26e) - Henry (cap.).
Italie : Buffon (cap.) - Zambrotta, Panucci, Chiellini, Grosso - Pirlo (Ambrosini, 55e), De Rossi - Gattuso (Aquilani, 83e), Perrotta (Camoranesi, 64e) - Toni, Cassano.
Pays-Bas - Roumanie 2-0 : Huntelaar (54e), Van Persie (87e).
Pays-Bas : Stekelenburg - Boulahrouz (Melchiot, 58e), Heitinga (cap.), Bouma, De Cler - De Zeeuw, Engelaar - Afellay, Van Persie, Robben (Kuyt, 62e) - Huntelaar (Vennegoor of Hesselink, 83e).
Roumanie : Lobont - Contra, Tamas, Ghionea, Rat - Codrea (Dica, 72e), Cocis, Chivu (cap.) - Nicolita, M. Niculae (D. Niculae, 60e), Mutu.
Classement : 1.Pays-Bas 9 (+8) ; 2.Italie 4 (-1) ; 3.Roumanie 2 (-2) ; 4.France 1 (-5).
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17/06/2008
EURO 2008 : Groupe B
L'Allemagne sans trembler
Pas de surprise hier dans ce groupe B. L'Allemagne a eu raison d'une équipe d'Autriche trop timide pour être inquiétante (les Autrichiens n'ont eu aucune occasion franche...). Le capitaine Ballack, transparent il y a quelques jours face à la Croatie, a inscrit l'unique but d'un coup-franc superbe de 25 mètres, dans la lucarne (49e). Dans l'autre match, la Croatie, déja qualifiée et certaine d'être première du groupe, a battu la Pologne (1-0). L'entraîneur Slaven Bilic a fait tourner son effectif et c'est l'attaquant du Werder Brême Ivan Klasnic qui a inscrit l'unique but de la rencontre (51e). Les Croates affronteront donc la Turquie (2ème du groupe A) tandis que l'Allemagne aura fort à faire face au Portugal de Cristiano Ronaldo.
LUNDI 16 JUIN :
Autriche - Allemagne 0-1 : Ballack (49e).
Autriche : Macho - Garics, Hiden (Leitgeb, 55e), Stranzl, Pogatetz - Harnik (Kienast, 66e), Aufhauser (Saümel, 63e), Fuchs, Korkmaz - Ivanschitz (cap.) - Hoffer.
Allemagne : Lehmann - Friedrich, Mertesacker, Metzelder, Lahm - Jansen - Fritz (Borowski, 90e+2), Frings, Ballack (cap.), Podolski (Neuville, 83e) - Gomez (Hitzlsperger, 60e), Klose.
Pologne - Croatie 0-1 : Klasnic (51e).
Pologne : Boruc - Wasilewski, Zewlakow (cap.), Dudka, Wawrzyniak - Lobodzinski (Smolarek, 53e), Murawski, Lewandowski (Kokoszka, 46e), Krzynowek - Guerreiro - Saganowski (Zahorski, 69e).
Croatie : Runje - Simic, Vejic, Knezevic (Corluka, 26e), Pranjic - Leko, Vukojevic, Pokrivac, Rakitic - Klasnic (Kalinic, 74e), Petric (Kranjcar, 75e).
Classement : 1.Croatie 9 ; 2.Allemagne 6 ; 3.Autriche 1 (-2) ; 4.Pologne 1 (-3).
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16/06/2008
EURO 2008 : Groupe A
La Turquie donne une leçon aux Tchèques...
et se qualifie pour les quarts après un incroyable retournement de situation... Ce sont des Tchèques un peu trop sûrs d'eux qui se sont fait remonter hier par la Turquie après avoir pourtant méné 2-0 jusqu'à la 75ème minute... Formidable équipe turque qui n'a jamais abdiqué, même après avoir pris le second but sur un contre rapide (et une volée de Plasil). A 2-1 et à quelques minutes du coup de sifflet final, on pensait les joueurs de Karel Bruckner tenir la victoire (car à 2-2, direction les tirs aux buts) mais il fallait une incroyable boulette du gardien Petr Cech, qui relachait le ballon sur un centre turque anodin, permettant à Nihat qui trainait par là, d'égaliser (87e). Mais le pire restait à venir pour les Tchèques. Complètement déboussolée, la défense, mal alignée, laissait filer ce même Nihat qui d'une superbe frappe enroulée crucifiait Cech (89e). Dans les arrêts de jeu, les esprits s'échauffaient et le gardien turc Volkan, provoqué par un Jan Koller au comportement toujours aussi stupide (on se souvient de son geste du pied face au gardien portugais Ricardo), se faisait expulser après avoir bousculé ce dernier (90e+2).
Face à la Croatie en quarts de finale, la Turquie sera donc privée de son gardien titulaire mais également de Mehmet Aurelio (suspendu pour avoir écopé deux cartons jaunes en 2 matchs), Emre Gungor et Emre Belizoglu (blessés). D'autres joueurs sont également incertains. Contre la Croatie, l'exploit sera difficile à réaliser. Mais bravo pour cette superbe qualification.
Dans l'autre match, la Suisse a battu pour l'honneur une équipe portugaise bis (8 titulaires laissés au repos). Le Portugal, assuré avant cette rencontre de finir premier du groupe, rencontrera en quarts soit l'Allemagne soit l'Autriche (qui s'affrontent ce soir, l'Autriche devant l'emporter pour passer devant l'Allemagne).
DIMANCHE 15 JUIN :
Suisse - Portugal 2-0 : H. Yakin (70e, 82e s.p).
Suisse : Benaglio - Lichtsteiner, Muller, Senderos, Magnin (cap.) - Vonlanthen (Barnetta, 60e), Fernandes, Inler, Behrami - H. Yakin (Cabanas, 86e) - Derdiyok.
Portugal : Ricardo - Miguel, Pepe, Bruno Alves, Paulo Ferreira (Ribeiro, 41e) - Raul Meireles, Fernando Meira (cap.), Miguel Veloso (Moutinho, 69e) - Quaresma, Helder Postiga (Hugo Almeida, 74e), Nani.
Turquie - République Tchèque 3-2 : Turan (75e), Nihat (87e, 89e) ; Koller (34e), Plasil (62e).
Expulsion : Volkan (90e+2).
Turquie : Volkan - Ham. Altintop, Emre Güngor (Asik, 64e), Cetin, Balta - Topal (Kazim-Richards, 57e), Mehmet Aurelio, Turan, Tuncay - Sentürk (Sarioglu, 46e), Nihat (cap.).
République Tchèque : Cech - Grygera, Ujfalusi (cap.), Rozehnal, Jankulowski - Polak, Galasek - Sionko (Vlcek, 84e), Matejovsky (Jarolim, 39e), Plasil (Kadlec, 80e) - Koller.
Classement : 1. Portugal 6 (+2) ; 2.Turquie 6 (0) ; 3.République Tchèque 3 (-2) ; 4.Suisse 3 (0).
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15/06/2008
EURO 2008 : Groupe D
L'Espagne qualifiée pour les quarts, le tenant grec éliminé...
La défaite ce soir de la Grèce face à la Russie (1-0), conjuguée à la victoire de l'Espagne contre la Suède (2-1) a scellé le sort des joueurs de Otto Rehhagel. Le champion en titre grec est éliminé de la compétition après avoir essuyé 2 défaites et sans avoir marqué le moindre but. Ce qui confirme que la victoire complètement innatendue il y a 4 ans lors de l'Euro 2004, s'il elle ne fut pas usurpée, fut bien un "accident". L'incapacité d'une équipe grecque limitée et en fin de cycle (à l'image de Nikopolidis qui rate complètement sa sortie sur le but russe) à passer le premier tour rappelle également la difficulté des champions en titre à défendre leur trophée 4 ans plus tard. Ce fut le cas du Danemark et de l'Allemagne, respectivement champions en 1992 et 1996 puis éliminés 4 ans plus tard lors du premier tour, mais aussi de la France, championne en 2000 puis éliminée en 2004 en quarts de finale (par la Grèce 1-0) après un premier tour laborieux.
L'attaquant de Valence David Villa a offert la victoire à l'Espagne face à la Suède dans les arrêts de jeu (2-1). Ca marche fort pour Villa, auteur également d'un triplé face à la Russie lors du premier match (4-1). Mais ce qu'il faut retenir c'est que l'Espagne est qualfiée pour les quarts mais également assurée d'être première de son groupe, ce qui lui permet d'éviter de croiser les Pays-Bas (1ers du groupe C) en quarts de finale. Ces derniers affronteront soit la Suède soit la Russie qui vont en découdre jeudi prochain pour l'obtention de la seconde place. En cas de match nul, la Suède serait qualifiée puisqu'elle possède une meilleure différence de buts. La Russie est donc obligée de l'emporter pour accrocher les quarts.
SAMEDI 14 JUIN :
Suède - Espagne 2-1 : Ibrahimovic (34e) ; Fernando Torres (15e), Villa (90e+2).
Suède : Isaksson - Stoor - Mellberg, Hansson, Nilsson - Elmander (S. Larsson, 79e), Anderson, Svensson, Ljungberg (cap.) - H. Larsson (Kallstrom, 86e), Ibrahimovic (Rosenberg, 46e).
Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Puyol (Albiol, 24e), Marchena, Capdevila - Iniesta (Cazorla, 59e), Xavi (Fabregas, 58e), Senna, Silva - Fernando Torres, Villa.
Grèce - Russie 0-1 : Zyryanov (33e).
Grèce : Nikopolidis - Seitaridis (Karagounis, 40e), Dellas, Kyrgiakos, Torosidis - Katsouranis, Basinas (cap.), Patsatzoglou - Charisteas, Liberopoulos (Gekas, 60e), Amanatidis (Giannakopoulos, 79e).
Russie : Akinfeev - Anyukov, Kolodin, Ignashevitch, Zhirkov (Berezoutski, 87e) - Zyryanov, Semak (cap.), Semshov - Torbinskiy, Pavlyuchenko, Bilyaletdinov (Saenko, 70e).
Classement : 1.Espagne 6 (+4) ; 2.Suède 3 (+1) ; 3.Russie 3 (-2) ; 4.Grèce 0 (-3).
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14/06/2008
EURO 2008 : Groupe C
Après l'Italie, les Pays-Bas cartonnent la France...
Après la Coupe du monde 2006, Marco Van Basten disait à propos de son équipe, considérée comme un outsider mais éliminée au stade des 8èmes, "mon équipe était trop jeune mais pour l'Euro 2008, nous accepterons volontiers le statut de favroi". Pour l'instant, nous lui donnons donc raison car les Pays-Bas viennent quand même de se payer l'Italie, championne du monde en titre (3-0) et la France, vice-championne (4-1). Si le score est très lourd pour les Français, on rappelera, sans toutefois enlever leur mérite aux Bataves, qu'à 1-0 pour la Hollande, un penalty flagrant aurait du être sifflé pour la France suite à un tir de Henry repoussé par la main d'un défenseur. Mais peut-être que l'arbitre était borgne ce soir. Ainsi, comme contre l'Italie (le premier but de Van Nistelrooy était entaché d'un hors-jeu flagrant), les Pays-Bas, tout en étant très forts, bénéficient d'un arbitrage favorable. Comme leurs victoires ont quand même été éclatantes, il ne semble pas que cela sera pris pour argent comptant. Par contre, en quarts de finale et en demi-finales (s'ils se qualifient), les rencontres seront plus serrées et là les fautes d'arbitrage feront certainement couler beaucoup d'encre. On retiendra de cette rencontre le magnifique but de Sneijder, merveilleux technicien, dans les arrêts de jeu. Si celui de Robben (1 but, 1 passe décisive, après être rentré à la mi-temps) est tout aussi beau (frappe dans la lucarne d'un angle impossible), on fera remarquer que Thuram est complètement dépassé sur l'action et que Gregory Coupet se devait de boucher son angle. Paradoxalement, la France a mieux joué que contre la Roumanie (0-0) mais en a pris quatre. Si les Bleus peuvent encore se qualifier, ils ne sont par contre plus maîtres de leur destin. Car une victoire contre l'Italie (qui n'est pas gagnée), conjuguée à une victoire roumaine contre les Pays-Bas (qui sont déja sûrs d'être premiers) serait synonyme d'élimination. C'est un des scénarios possibles.
Ce qui est certain est que la France est obligée de gagner contre une équipe italienne qui a proposé une prestation plus proche de son standing contre la Roumanie (1-1). Dans ce match équilibré, l'attaquant roumain Adrian Mutu a raté un penalty en fin de match. Notons qu'avec 3 points (un match nul contre la Hollande), la Roumanie serait qualifiée en cas de match nul entre la France et l'Italie. Une qualification avec 3 points uniquement serait du jamais vu. Conclusion : lors du dernier match, les Pays-Bas vont faire tourner l'effectif et se balader. Les trois autres équipes lutteront jusqu'au bout. Impossible de dire qui a l'avantage. France-Italie, remake de la finale du mondial 2006 sera décisif... ou peut-être même pas.
VENDREDI 13 JUIN :
Italie - Roumanie 1-1 : Panucci (56e) ; Mutu (55e).
Italie : Buffon - Zambrotta, Panucci, Chiellini, Grosso - Pirlo, De Rossi - Camoranesi (Ambrosini, 84e), Perrotta (Cassano, 57e), Del Piero (cap.) (Quagliarella, 76e) - Toni.
Roumanie : Lobont - Contra, Tamas, Goian, Rat - Petre (Nicolita, 60e), Radoi (Dica, 25e), Chivu (cap.) - Codrea, D. Niculae, Mutu (Cocis, 88e).
Pays-Bas - France 4-1 : Kuyt (10e), Van Persie (59e), Robben (72e), Sneijder (90e+3) ; Henry (71e).
Pays-Bas : Van der Sar - Boulahrouz, Ooijer, Mathijsen, Van Bronckhorst - De Jong, Engelaar (Robben, 46e) - Kuyt (Van Persie, 57e), Van der Vart (Bouma, 78e), Sneijder - Van Nistelrooy.
France : Coupet - Sagnol, Thuram (cap.), Gallas, Evra - Toulalan, Makelele - Govou (Anelka, 75e), Ribéry, Malouda (Gomis, 61e) - Henry.
Classement : 1.Pays-Bas 6 (+6) ; 2.Roumanie 2 (0) ; 3.Italie, France 1 (-3).
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