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13/10/2011

Euro 2012 - barrages

euro 2012,barrages euro 2012,turquie,bosnie,république tchèque,portugal,eire,estonie,irlande,bosnie,monténégroLe tirage au sort des rencontres opposant les barragistes des qualification de l'Euro 2012, vient d'être effectué cet après-midi. Les têtes d'affiches - Portugal, République Tchèque, Irlande et Croatie - se sont vu attribués chacune une des quatre autres équipes, à savoir la Turquie, la Bosnie l'Estonie, et le Monténégro. Ces deux dernières équipes joueront leur premier barrage de leur jeune histoire (1).

4244683307-le-portugal-sera-en-danger.jpgBosnie-Portugal et Turquie-Croatie constitueront les 2 grosses affiches. Le Portugal de Cristiano Ronaldo, décevant en éliminatoires (2) est supérieur sur le papier mais devra se méfier contre des Bosniens très joueurs et en progression constante depuis plusieurs années. Les Lusitaniens auront de même fort à faire face à l'attaquant vedette Edin Dzeko. Les 2 équipes s'étaient déja affrontées en barrages de la Coupe du monde 2010 où le Portugal l'avait remporté par deux fois sur un score étriqué (1-0, 1-0).

Turquie-Croatie sera un match très relevé également, les Croates auront l'avantage de jouer le match retour à domicile et auront à coeur de se venger d'une équipe turque qui les avait éliminé en quart de finale de l'Euro 2008 (aux tirs aux buts), alors qu'ils avaient dominé les débats. Estonie-Eire devrait être, sauf accident, à l'avantage des Irlandais. Le petit poucet balte, invité surprise de ces barrages, part avec le désavantge de l'inexpérience à ce niveau là et aura le malheur de jouer le retour à l'extérieur. Absents de toute compétition officielle depuis 2002 (3), les Irlandais ne lâcheront rien. Enfin, République Tchèque - Monténégro constitue l'énigme de ces barrages. Aucune des deux équipes n'a été franchement brillante en éliminatoires (4), les Monténégrins ayant toutefois ramené 2 nuls contre l'Angleterre. Entre une République Tchèque au bord de l'essouflement depuis plusieurs années et un Monténégro inexpérimenté, rien n'est sûr. Ce dernier aura l'avantage du terrain au retour.

Matchs aller (11 ou 12 novembre - retour le 15)

Turquie - Croatie

Estonie - Eire

République Tchèque - Monténégro

Bosnie - Portugal

 

 

(1) L'équipe du Monténégro voit le jour en 2006 après l'indépendance du nouvel Etat obtenue vis-à-vis de la Serbie-Monténégro (anciennement Yougoslavie).

(2) Un nul (4-4) contre Chypre à domicile.

(3) Ils sont éliminés en barrages de la Coupe du monde 2010 par la France (0-1, 1-1), avec la fameuse main de Thierry Henry.

(4) Il est vrai toutefois que les deux avaient fort à faire face à l'Espagne (Rép. Tchèque) et l'Angleterre.

27/06/2008

EURO 2008 : Russie - Espagne 0-3

d9dc5ca886dc25f8570ccaffc9b68bd7.jpgL'Espagne facile

C'est finalement en remportant sa demi-finale très facilement que l'Espagne atteint sa première finale d'une grande compétition, depuis 24 ans. Face à une équipe russe timorée et qui fut l'ombre de la déferlante qui balaya samedi dernier les Pays-Bas en quarts (3-1), les joueurs de Luis Aragones n'ont pas eu à forcer le talent, même si la délivrance ne survint qu'après le repos. Grâce aux milieux barcelonais Iniesta et Xavi, les Ibériques construirent tranquilement mais surement leur victoire. Le second cité taclait dans les buts un centre-tir du premier, le ballon passant entre les pieds de Akinfeev. C'est ensuite, l'attaquant de Majorque, Güiza, meilleur buteur de Liga, qui marquait après un joil mouvement collectif (73e). Puis le feu follet Silva contrôlait suite à un centre de Fabregas (passeur également sur le second but) et fusillait tranquilement le malheureux gardien. Tétanisés par la pression et déja balayés par l'Espagne lors du premier tour (4-1), les Russes ne sont jamais parvenus à émerger durant ce match.

La finale, inédite, opposera dimanche la technique espagnole au physique allemand.

JEUDI 26 JUIN :

RUSSIE - ESPAGNE 0-3

Buts : Xavi (50e), Güiza (73e), Silva (82e).

Avertissements : Zhirkov (57e), Bilyaletdinov (60e).

Russie : Akinfeev - Anyukov, Ignashevitch, Berezoutski,  Zhirkov  - Saenko (Saenko, 57e), Semak (cap.), Semshov (Bilyaletdinov, 56e), Zyryanov  - Arshavin - Pavlyuchenko.

Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Puyol, Marchena, Capdevila - Iniesta (Cazorla, 59e), Senna, Xavi (Xavi Alonso, 69e), Silva - Villa (Fabregas, 34e), Fernando Torres (Güiza, 69e).

26/06/2008

EURO 2008 : Allemagne - Turquie 3-2

lahm.jpgL'Allemagne à l'arraché

C'est dans les derniers instants d'un match palpitant que l'Allemagne est parvenue à battre la Turquie (3-2) et se qualifier pour sa 6ème finale d'un Euro (3 victoires déja). Les Allemands ont souffert hier face à une équipe turque pourtant diminuée. Tout était contre les Turcs au départ : 4 joueurs suspendus, 5 blessés et une condition physique inférieure à celle des Allemands. Pourtant c'est eux qui ont fait le jeu durant la majorité de cette rencontre, notamment en première mi-temps. Ils ouvraient même le score par Boral (22e) qui reprenait un tir renvoyé par la barre. Mais l'Allemagne était redoutable en contre et comme contre le Portugal, un centre parfait de Podolski était repris par Schweinsteiger qui plaçait le ballon hors de portée de Rustu (26e). En seconde mi-temps, la Turquie payait ses efforts physiques de la première mi-temps. Sur un centre de Lahm, la sortie complètement ratée de Rustu (comme contre la Croatie en quarts de finale) permettait à Klose de marquer de la tête (79e). On pensait le match plié mais la Turquie nous refaisait une nouvelle fois le même scénario (pour la 4ème fois en 4 matchs !). Sur un centre à ras de terre de Sarioglu, Senturk glissait le ballon au premier poteau (86e). Mais cette fois-ci ce sont les Allemands qui allaient s'imposer dans les derniers instants. Après un joli mouvement collectif et profitant d'un mauvais placement de la défense adverse, l'arrière gauche Lahm s'infiltrait dans la surface et fusillait Rustu (90e). Le réalisme allemand a une nouvelle fois payé. Chapeau pour la Turquie qui n'a jamais rien lâché et qui a démontré tout au long de cet Euro de grandes capacités mentales.

podolski.jpgMERCREDI 25 JUIN :

ALLEMAGNE - TURQUIE 3-2

Buts : Boral (22e), Senturk (86e) ; Schweinsteiger (26e), Klose (79e), Lahm (90e).

Avertissements : Senturk (53e), Sarioglu (90e+4).

Allemagne : Lehmann - Friedrich, Mertesacker, Metzelder, Lahm - Hitzlsperger, Rolfes (Frings, 46e) - Schweinsteiger, Ballack (cap.), Podolski - Klose (Jansen, 90e+2).

Turquie : Rustu - Sarioglu, Topal, Gökhan, Balta -  Ham. Altintop, Mehmet Aurelio, Akman (Erding, 81e) - Kazim-Richards (Metin, 90e+1), Senturk, Boral (Gökdeniz, 84e).

23/06/2008

EURO 2008 : Espagne - Italie 0-0 a.p (4-2 t.a.b)

2017821210.jpgL'Espagne franchit un cap

En éliminant hier l'Italie en quarts de finale, l'Espagne atteint pour la première fois depuis 1984 une demi-finale d'une grande compétition. Cette année, les Ibériques s'étaient inclinés en finale de l'Euro face à la France (on se souvient bien de l'erreur d'Arconada). Une belle récompense pour cette sélection toujours bien placée mais qui n'arrivait jamais à se surpasser lors des matchs cruciaux. En 2006, l'Espagne était considérée comme un outsider pour la victoire finale. Un brin arrogants et pas assez expérimentés, les joueurs de Luis Aragones s'étaient cassés les dents face à la France en huitièmes (1-3). Aujourd'hui, les joueurs ont deux ans de plus et l'équipe a mûri. Dans ce match plutôt soporifique (1 occasion franche de chaque côté), Fernando Torres et compagnie ont souffert face à une équipe italienne qui a fermé le jeu. Direction les tirs aux buts. Si Güiza a loupé son tir côté espagnol, deux joueurs italiens ont manqué leur tentative côté italien.  De Rossi (qui avait marqué son tir au but en 2006 contre la France en finale) et Di Natale (qui n'aurait peut-être pas du tirer, vu qu'il était conspué en permanence par le public) ont vu leurs tirs repoussés par Casillas. Comme quoi, on ne peut pas toujours gagner aux tirs aux buts. L'Italie l'avait fait en finale de Coupe du monde 2006, l'Espagne s'était inclinée en quarts de finale (contre la Corée) lors du mondial 2002... Si le résultat est étriqué, la victoire finale espagnole demeure logique, dans la mesure où c'est l'équipe qui a pratiqué un meilleur football durant la compétition qui l'a emporté. En effet, l'Italie n'a rien prouvé, lors de cet Euro, mis à part une bonne rigueur tactique par moments. Elle aura marqué 3 buts et encaissé 4, remporté 1 match pour 2 matchs nul et 1 défaite, statistique indigne pour équipe qui est tout de même championne du monde en titre.

dddddddddd.jpgDIMANCHE 22 JUIN :

ESPAGNE - ITALIE 0-0 a.p (4-2, tirs aux buts)

Avertissements : Iniesta (11e), Villa (72e), Cazorla (113e) pour l'Espagne ; Ambrosini (31e) pour l'Italie.

Tirs aux buts : Villa, Cazorla, Senna, Güiza (manqué), Fabregas pour l'Espagne ; Grosso, De Rossi (manqué), Camoranesi, Di Natale (manqué) pour l'Italie.

Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Marchena, Puyol, Capdevila - Iniesta (Cazorla, 59e), Senna, Xavi (Fabregas, 59e), Silva - Fernando Torres (Güiza, 85e), Villa. 

Italie : Buffon (cap.) - Zambrotta, Panucci, Chiellini, Grosso - Aquilani (Del Piero, 108e), De Rossi, Ambrosini - Perrotta (Camoranesi, 58e) - Toni, Cassano (Di Natale, 75e).

22/06/2008

EURO 2008 : Pays-Bas - Russie 1-3 a.p

c83dd13491647aa4959cb9cc3f60900e.jpgLa Russie nouvelle surprise

L'équipe entraînée par le néerlandais Gus Hiddink a déjoué tous les pronostics hier en s'imposant brillamment (3-1 a.p) face une équipe hollandaise dépassée dans le jeu et submergée par la vitesse de l'équipe la plus jeune du tournoi (25 ans de moyenne d'âge). Emmenée par un Arshavin brillant (qui va certainement être de plus en plus convoité par les grands clubs européeens), cette équipe russe a le mérite d'avoir toujours, et ce depuis le début du tournoi, pratiqué un jeu offensif et ouvert (même après le 4-1 encaissé contre l'Espagne au premier tour), contrairement à d'autres équipes (la Grèce en 2004) souvent obligées de fermer le jeu et d'évoluer en contre face à des adversaires plus forts sur le papier. Bravo donc pour cette équipe qui affrontera en demi-finale le vainqueur ce soir d'Espagne-Italie.

arshavin.jpgSAMEDI 21 JUIN :

PAYS-BAS - RUSSIE 1-3 a.p

Buts : Van Nistelrooy (86e) ; Pavlyuchenko (57e), Torbinskiy (112e), Arshavin (115e).

Avertissements : Boulahrouz (51e), Van Persie (55e), Van der Vaart (61e) pour les Pays-Bas ; Kolodin (71e), Zhirkov (103e), Torbinskiy (111e) pour la Russie.

Pays-Bas : Van der Sar (cap.) -  Boulahrouz (Heitinga, 54e), Ooijer, Mathijsen, Van Bronckhorst - De Jong, Engelaar (Afellay, 62e) - Kuyt (Van Persie, 46e), Van der Vart (Bouma, 78e), Sneijder - Van Nistelrooy.

Russie : Akinfeev - Anyukov, Kolodin, Ignashevitch, Zhirkov  - Zyryanov, Semak (cap.), Semshov (Bilyaletdinov, 69e), Saenko (Torbinskiy) - Arshavin - Pavlyuchenko (Sychev, 115e).