free website counter html
free website counter html

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/07/2010

Coupe du monde : Pays-Bas - Espagne 0-1 a.p

92f8b13ed2410dc6dc7f6acb01ee8ca7.jpgL'Espagne dans la légende

L'Espagne vient de remporter sa première Coupe du monde, en s'imposant en finale contre les Pays-Bas (1.0 a.p).

L'équipe entraînée par Vicente del Bosque (2 Champions league gagnées avec le Real Madrid en 2000 et 2002) s'impose difficilement mais logiquement face à des Bataves qui n'ont jamais vraiment été dans le match et qui dès le début de rencontre avaient décidé de casser le jeu espagnol en commettant nombreuses vilaines fautes. La roja allait d'ailleurs riposter histoire de se faire respecter. Résultat : la rencontre fut hachée en permanence et l'arbitre a du distribuer au total 13 cartons jaunes (8 pour les Pays-Bas, 5 pour l'Espagne) et 1 carton rouge (au défenseur hollandais Heitinga).

newsmlmmd_af90fb34ff6fca9602bc6d30baab31df_b610b.jpgSi le jeu espagnol fut beaucoup plus constructif, ce sont les Hollandais qui se créaient l'occasion la plus dangereuse du match. Lancé par Sneijder, Arjen Robben se présentait seul face à Casillas mais manquait incroyabement son duel, le portier adverse déviant la balle du pied (60e). L'Espagne ripostait et sur un centre de Jesus Navas, entré en cours de jeu, Villa frappait au but mais Heitinga dégageait devant sa ligne (70e). Puis Sergio Ramos placait une jolie tête sur corner, qui passait juste au dessus (77e). Robben, l'un des rares hollandais à avoir créé le danger sur le but adverse (mais où était donc Van Persie ??) filait à nouveau au but mais désiquilibré par Puyol, il butait à nouveau sur Casillas (82e).

Direction donc vers des prolongations à l'avantage des Ibériques. Xavi (92e), Fabregas (95e) et Iniesta (99e) se créaient de grosses occasions. Pour une faute sur ce dernier qui s'ouvrait le chemin des buts, Heitinga était logiquement expulsé après un second carton jaune (109e). La délivrance aboutit à 3 minutes de la fin de la prolongation. Servi dans la surface par Fabregas suite à un mauvais renvoi de la défense adverse, Iniesta contrôlait avant de fusiller Stekelenburg qui effleurait le ballon au passage (1-0, 117ème).

iiiiiii.jpgL'Espagne est donc championne après avoir perdu son 1er match de mondial (1-0 contre la Suisse). C'est la première fois que cela arrive. Il faut surtout retenir qu'elle est la 3ème équipe seulement à gagner à la suite l'Euro et le Mondial. La RFA avait remporté l'Euro 72 puis le mondial 74 et la France avait réalisé la prouesse inverse : Mondial 98 puis Euro 2000. Quant à l'Espagne, on se souvient qu'elle avait brillamment remporté l'Euro 2008. Il est indéniable qu'elle est la meilleure équipe au monde actuellement. Auteur d'un très gros match, Iniesta devrait logiquement être élu meilleur joueur de la finale.

Quant aux Pays-Bas, ils perdent leur 3ème finale de Coupe du monde après celles de 1974 (1-2, RFA) et 1978 (1-3, Argentine).

But : Iniesta (117e).

Avertissements : Van Persie (15e), Van Bommel (22e), De Jong (28e), Van Bronckhorst (54e), Heitinga (56e, 109e),, Robben (84e), Van der Wiel (111e), Mathijsen (118e) ; Puyol (17e), Sergio Ramos (23e), Capdevilla (68e), Iniesta (118e), Xavi (120e). 

Pays-Bas : Stekelenburg - Van der Wiel, Heitinga, Mathijsen, Van Bronckhorst (Braafheid, 105e) - Van Bommel, De Jong (Van der Vaart, 99e) - Robben, Sneijder, Kuyt (Elia, 71e) - Van Persie.

Espagne : Casillas - Sergio Ramos, Puyol, Piqué, Capdevilla - Xavi Alonso (Fabregas, 86e), Busquets - Pedro (Jesus Navas, 60e), Xavi, Iniesta - Villa (Fernando Torres, 106e).

26/09/2008

New York

300px-Flag_of_New_York_City_svg.pngLa ville "qui ne dort jamais" possède une superficie de 1214 km² (à titre de comparaison, Paris fait 105 km²) et une population de plus de 8 millions d'habitants. Pas de bleu blanc rouge ici mais bleu blanc orange, qui rappelle en fait le drapeau des Pays-Bas, disposé horizontalement pour sa part. Les Hollandais furent les premiers à coloniser la région. Le drapeau date de 1915 seulement (révisé en 1977). Au milieu de la bande blanche se trouve un blason, emblême du drapeau utilisé avant 1915. Ce blason représente les armoiries de la ville. L'aigle en haut est le symbole des Etats-Unis d'Amérique. Les deux hommes sont Dexter (à gauche), un marin, représentant les premiers colons, et Sinister (à droite), un indien de Manhattan. En latin, il est écrit : Sigillum Civitatis Novi Eboraci ("Sceau de la ville de New-York"). Les deux castors (au milieu) sont le symbole de la Compagnie Néerlandaise des Indes Orientales, première compagnie à s'être installée à New York (Nouvelle-Amsterdam à l'époque). On aperçoit également un moulin à vent, des fleurs en couronne ainsi que des tonneaux de farine, représentant l'industrie de la ville. 1625 est l'année où les Hollandais créèrent la ville de Nouvelle-Amsterdam. J. N

22/06/2008

EURO 2008 : Pays-Bas - Russie 1-3 a.p

c83dd13491647aa4959cb9cc3f60900e.jpgLa Russie nouvelle surprise

L'équipe entraînée par le néerlandais Gus Hiddink a déjoué tous les pronostics hier en s'imposant brillamment (3-1 a.p) face une équipe hollandaise dépassée dans le jeu et submergée par la vitesse de l'équipe la plus jeune du tournoi (25 ans de moyenne d'âge). Emmenée par un Arshavin brillant (qui va certainement être de plus en plus convoité par les grands clubs européeens), cette équipe russe a le mérite d'avoir toujours, et ce depuis le début du tournoi, pratiqué un jeu offensif et ouvert (même après le 4-1 encaissé contre l'Espagne au premier tour), contrairement à d'autres équipes (la Grèce en 2004) souvent obligées de fermer le jeu et d'évoluer en contre face à des adversaires plus forts sur le papier. Bravo donc pour cette équipe qui affrontera en demi-finale le vainqueur ce soir d'Espagne-Italie.

arshavin.jpgSAMEDI 21 JUIN :

PAYS-BAS - RUSSIE 1-3 a.p

Buts : Van Nistelrooy (86e) ; Pavlyuchenko (57e), Torbinskiy (112e), Arshavin (115e).

Avertissements : Boulahrouz (51e), Van Persie (55e), Van der Vaart (61e) pour les Pays-Bas ; Kolodin (71e), Zhirkov (103e), Torbinskiy (111e) pour la Russie.

Pays-Bas : Van der Sar (cap.) -  Boulahrouz (Heitinga, 54e), Ooijer, Mathijsen, Van Bronckhorst - De Jong, Engelaar (Afellay, 62e) - Kuyt (Van Persie, 46e), Van der Vart (Bouma, 78e), Sneijder - Van Nistelrooy.

Russie : Akinfeev - Anyukov, Kolodin, Ignashevitch, Zhirkov  - Zyryanov, Semak (cap.), Semshov (Bilyaletdinov, 69e), Saenko (Torbinskiy) - Arshavin - Pavlyuchenko (Sychev, 115e).

 

19/06/2008

EURO 2008 - Quarts de finale

euro 2008.jpgAlors que les quarts de finale de l'Euro débutent tout à l'heure (Portugal-Allemagne), retour sur la dernière confrontation qui opposa les équipes qui s'affrontent (lors d'une phase finale d'une grande compétition) :  

Portugal - Allemagne (19 juin) : C'est le remake du match comptant pour la 3ème place lors de la Coupe du monde 2006. Devant leur public, les Allemands l'emportèrent nettement (3-1) grâce notamment à un doublé de Bastian Schweinsteiger. Titulaire ce soir, celui-ci aimerait bien récidiver. Mais le Portugal version 2008 n'est plus celui de 2006 et les Allemands auront fort à faire face à la bande à Scolari. Réponse dans quelques heures.

Croatie - Turquie (20 juin) : Les deux équipes s'étaient affrontées lors du premier tour de l'Euro 96. Les Croates l'emportèrent dans les derniers instants (1-0) grâce à Goran Vlaovic, entré en cours de jeu.

Pays-Bas - Russie (21 juin) : L'équipe de Russie, existant sous cette appelation depuis 1992, ces deux équipes ne s'étaient pas encore affrontées en phase finale de compétition majeure. A l'Euro 92, les Pays-Bas et la "CEI" firent match nul (0-0) lors du premier tour (la Hollande finit première du groupe et la CEI dernière). Et comment ne pas oublier la finale de l'Euro 88 entre l'URSS et les Pays-Bas (0-2), Marco Van Basten marquant le deuxième but de son équipe d'une reprise de volée magistrale. Vingt ans plus tard, Van Basten sera cette fois sur le banc.

Espagne - Italie (22 juin) : On se souvient de ce fameux coup de coude assené par Mauro Tassotti à Luis Enrique (qui aura le nez cassé) dans la surface de réparation et dans les arrêts de jeu. Tassotti sera ensuite trahi par la vidéo et suspendu plusieurs matchs, ce qui scellera sa carrière internationale. En fin de rencontre, alors que le score était de (1-1), l'attaquant de Barcelone, Julio Salinas, eut l'occasion de tuer le match mais il manquait incroyablement son face à face avec Pagliuca ("la plus grande erreur de ma vie", affirmera-t-il par la suite). Tournant du match car Roberto Baggio donnait la victoire aux siens à la 87ème minute.

14/06/2008

EURO 2008 : Groupe C

2ba9a416a046906c42882e6f6b8b54c9.jpgAprès l'Italie, les Pays-Bas cartonnent la France... 

Après la Coupe du monde 2006, Marco Van Basten disait à propos de son équipe, considérée comme un outsider mais éliminée au stade des 8èmes, "mon équipe était trop jeune mais pour l'Euro 2008, nous accepterons volontiers le statut de favroi". Pour l'instant, nous lui donnons donc raison car les Pays-Bas viennent quand même de se payer l'Italie, championne du monde en titre (3-0) et la France, vice-championne (4-1). Si le score est très lourd pour les Français, on rappelera, sans toutefois enlever leur mérite aux Bataves, qu'à 1-0 pour la Hollande, un penalty flagrant aurait du être sifflé pour la France suite à un tir de Henry repoussé par la main d'un défenseur. Mais peut-être que l'arbitre était borgne ce soir. Ainsi, comme contre l'Italie (le premier but de Van Nistelrooy était entaché d'un hors-jeu flagrant), les Pays-Bas, tout en étant très forts, bénéficient d'un arbitrage favorable. Comme leurs victoires ont quand même été éclatantes, il ne semble pas que cela sera pris pour argent comptant. Par contre, en quarts de finale et en demi-finales (s'ils se qualifient), les rencontres seront plus serrées et là les fautes d'arbitrage feront certainement couler beaucoup d'encre. On retiendra de cette rencontre le magnifique but de Sneijder, merveilleux technicien, dans les arrêts de jeu. Si celui de Robben (1 but, 1 passe décisive, après être rentré à la mi-temps) est tout aussi beau (frappe dans la lucarne d'un angle impossible), on fera remarquer que Thuram est complètement dépassé sur l'action et que Gregory Coupet se devait de boucher son angle. Paradoxalement, la France a mieux joué que contre la Roumanie (0-0) mais en a pris quatre. Si les Bleus peuvent encore se qualifier, ils ne sont par contre plus maîtres de leur destin. Car une victoire contre l'Italie (qui n'est pas gagnée), conjuguée à une victoire roumaine contre les Pays-Bas (qui sont déja sûrs d'être premiers) serait synonyme d'élimination. C'est un des scénarios possibles.

508135517.jpgCe qui est certain est que la France est obligée de gagner contre une équipe italienne qui a proposé une prestation plus proche de son standing contre la Roumanie (1-1). Dans ce match équilibré, l'attaquant roumain Adrian Mutu a raté un penalty en fin de match. Notons qu'avec 3 points (un match nul contre la Hollande), la Roumanie serait qualifiée en cas de match nul entre la France et l'Italie. Une qualification avec 3 points uniquement serait du jamais vu. Conclusion : lors du dernier match, les Pays-Bas vont faire tourner l'effectif et se balader. Les trois autres équipes lutteront jusqu'au bout. Impossible de dire qui a l'avantage. France-Italie, remake de la finale du mondial 2006 sera décisif... ou peut-être même pas.

itarou.jpgVENDREDI 13 JUIN :

Italie - Roumanie 1-1 : Panucci (56e) ; Mutu (55e).

Italie : Buffon - Zambrotta, Panucci, Chiellini, Grosso - Pirlo, De Rossi - Camoranesi (Ambrosini, 84e), Perrotta (Cassano, 57e), Del Piero (cap.) (Quagliarella, 76e) - Toni.

Roumanie : Lobont - Contra, Tamas, Goian, Rat - Petre (Nicolita, 60e), Radoi (Dica, 25e), Chivu (cap.) - Codrea, D. Niculae, Mutu (Cocis, 88e).

 

paysbas.jpgPays-Bas - France 4-1 : Kuyt (10e), Van Persie (59e), Robben (72e), Sneijder (90e+3) ; Henry (71e).

Pays-Bas : Van der Sar -  Boulahrouz, Ooijer, Mathijsen, Van Bronckhorst - De Jong, Engelaar (Robben, 46e) - Kuyt (Van Persie, 57e), Van der Vart (Bouma, 78e), Sneijder - Van Nistelrooy.

France : Coupet - Sagnol, Thuram (cap.), Gallas, Evra - Toulalan, Makelele - Govou (Anelka, 75e), Ribéry, Malouda (Gomis, 61e) - Henry.

 

Classement : 1.Pays-Bas 6 (+6) ; 2.Roumanie 2 (0) ; 3.Italie, France 1 (-3).