11/08/2019
La Commune et les Communards
Si cet événement très court (mars-mai 1871) et réprimé dans le sang (6000 à 7500 morts chez les insurgés durant la Semaine sanglante dont 137 exécutions sur le Mur des Fédérés) n'eut pas d'influence sur la suite des événements (pouvoir législatif dominé par les monarchistes, président pro-monarchiste en la personne d'Adolphe Thiers), il n'en demeure pas moins, dans la mémoire collective française, une grande cause, celle de la lutte pour la liberté et la justice (inspirant au passage la Révolution russe de 1917 et les Révolutionnaires de la Guerre d'Espagne de 1936-1939). Si le débat sur la Commune n'est pas terminé, on peut affirmer que celle-ci fut essentiellement une réaction patriotique, une révolution urbaine ainsi qu'une conquête par les classes populaires.
Loin des mythes, des exagérations mais aussi des minimisations, Jacques Rougerie, historien du mouvement ouvrier et spéciale de la Commune, raconte dans une première partie ("Paris insurgé. La Commune de 1871") cette aventure tragique, puis dans une seconde ("Le procès des communards") - sans doute trop longue par rapport à la partie I - instruit le procès des protagonistes (procès-verbaux à l'appui) tout en tentant de cernier l'essence de la Commune, les divergences en son sein ainsi que son rapport à la démocratie. L'ouvrage - dont l'écriture est agréable - se lit rapidement et permet de comprendre de manière globale ce que fut cette révolution avortée mais constituant une référence à de nombreux égards. J. N
Jacques Rougerie, La Commune et les Communards, Paris, Gallimard, Folio Histoire, 2018 (1978), 427 p.
12:00 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : commune (1871), commune, la commune et les communards, jacques rougerie, commune de paris, réaction patriotique, mur des fédérés, semaine sanglante, révolution russe, révolution d'octobre, france, paris
29/07/2019
Classement des plus grands musées
A ce jeu-là, difficile de détrôner le Louvre, musée le plus prestigieux et visité de la planète. Ce classement des plus grands musées prend en compte la surface d'exposition et non pas la totalité de l'espace intérieur du bâtiment (généralement beaucoup plus grand). Les musées doivent contenir principalement des œuvres d'art. Sont donc exclus les musées d'histoire (si la dimension historique prime sur la collection d’œuvres), de sciences, d'histoire sociale...etc. Il est considéré que les grands musées sont ceux qui ont un espace d'exposition d'au moins 8000 m².
"Un musée est une institution permanente sans but lucratif au service de la société et de son développement ouverte au public, qui acquiert, expose et transmet le patrimoine matériel et immatériel de l'humanité et de son environnement à des fins d'études, d'éducation et de délectation". Statuts du Conseil international des musées, art. 2§.1 |
L'information la plus étonnante du TOP 10 est sans doute la 5ème position du Vatican. D'une superficie de 43.000 m², la surface d'exposition représente environ 10% du territoire du Vatican (0.439 km²). Ce TOP 10 comprend en fait 11 musées puisque Chicago et Nankin sont ex-aequo (26.000 m²) à la 10ème place. Entre parenthèses, la ville et l'année de création du musée :
1. Musée du Louvre (Paris, 1793) - 72.735 m²
2. Musée de l'Ermitage (Saint-Pétersbourg, 1764) - 66.842
3. Musée national de Chine (Pékin, 1954) - 65.000
4. Metropolitan Museum of Art (New York, 1870) - 58.820
5. Musées du Vatican (Vatican, 1506) - 43.000
6. Musée national de Tokyo (Tokyo, 1872) - 38.000
7. Musée national d'anthropologie de Mexico (Mexico, 1964) - 33.000
8. Victoria and Albert Museum (Londres, 1852) - 30.000
9. Musée national de Corée (Séoul, 1945) - 27.090
10. Art Institute of Chicago (Chicago, 1879) - 26.000
10. ex-aequo - Musée de Nankin (Nankin, 1933) - 26.000
09:00 Publié dans Liste/Classement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musée du louvre, louvre, musée de l'ermitage, musée national de chine, metropolitan museum of art, new york, pékin, paris, russie, mexique, mexico, vatican, tokyo, japon, nankin, royaume-uni, angleterre, londres, chicago, musée de nankin, art institute of chicago, victoria and albert museum, musée national d'anthropologie de mexico, musées du vatican, classement des plus grands musées
28/10/2012
Ligue 1 - 10ème journée : premier bilan
Après 10 journées de cet exercice de Ligue 1 version 2012-2013, soit un quart du championnat, place au premier bilan et aux tendances actuelles.
Par Jihad Naoufal et Maroun Khair
Paris taille patron
Après un début de championnat timide (3 matchs nuls consécutifs), le "nouveau" PSG galactique a enchaîné avec 6 victoires entrecoupées d'un match nul probant au Vélodrome (2-2). La sauce made in Ancelotti a pris et le PSG, désormais leader avec 3 points d'avance, fait figure d'épouvantail. Grand artisan de cette dynamique actuel, le suédois Zlatan Ibrahimovic qui a déja inscrit 10 buts en 9 matchs. Auteur de 3 doublés (rien que ça), l'ancien joueur de Milan a été décisif à Lille (2-1, doublé, 4ème journée), Marseille (2-2, doublé, 8ème) et encore hier à Nancy (1-0). Et quand il ne marque pas, c'est son compère de l'attaque, Kevin Gameiro (rarement titulaire), qui le supplée et qui se fait décisif : doublé contre Sochaux (2-0, 7ème) et unique but contre Reims (1-0, 9ème). Le rouleau compresseur parisien est lançé.
Zéro défaite
Pour ne rien gâcher, l'équipe francilienne n'a pas encore perdu cette saison, soit 10 matchs consécutifs sans défaite. Avec la première défaite de Bordeaux ce soir à Bastia (3-1), Paris demeure donc la seule équipe invaincue.
Sous le signe de l'offensive
258 buts ont été marqués en 10 journées (moins Sochaux-Evian et Marseille-Lyon, matchs reportés de la 10e journée), soit une très bonne moyenne de 2.58 buts/match. Les rencontres Valenciennes-Lorient (6-1, 9ème) et Lorient-Ajaccio (4-4, 10ème) ont contribué à cette statistique. La saison passée, deux équipes avaient marqué 6 buts lors d'une rencontre (Rennes, PSG) et lors de 3 rencontres, 8 buts ou plus avaient été marqués.
Marseille rentre dans le rang
Après 6 victoires consécutives et 1 seul but encaissé, l'équipe olympienne marque le pas. Défaits lourdement à Valenciennes (4-1, 7ème), les marseillais faisaient ensuite match nul contre le PSG (2-2) avant de s'incliner à nouveau à Troyes (1-0), avant-dernier du classement. La faute à un calendrier très lourdement chargé (toutes compétitions confondues, Marseille a joué 7 matchs en août et 5 en septembre). Marseille-Lyon reporté (pour cause de vent violent), c'est désormais Toulouse qui est dauphin du PSG. Marseille reste toutefois à 3 points du leader.
Les surprises
Toulouse constitue la belle surprise de ce début de saison. Les coéquipiers du néo-international français Etienne Capoue, ne se sont inclinés que contre le leader (2-0) et occupent actuellement la 2ème place. A un degré moindre, Valenciennes, habitué à jouer le maintien, occupe une probante 6ème place.
Montpellier à côté de...
...la plaque. Le champion surprise de la saison passée est redevenue une équipe normale, sans aucune transition. Les protégés de René Girard peinent à faire le jeu à la maison, où ils viennent de remporter ce week-end leur première victoire (pour 2 nuls et 2 défaites). Le problème c'est qu'ils ne s'imposent pas non plus à l'extérieur (3 défaites). Le champion sortant est 13ème du classement...
Déception lilloise
Orphelins d'Eden Hazard, parti à Chelsea, et victimes du "pillage" permanent de leurs meilleurs éléments (Rami, Cabaye, Gervinho, Sow, voire vientôt Debuchy), les Dogues ont du mal à élever leur niveau de jeu et n'ont pas encore enchaînés deux victoires de suite. Déjà défaits 2 fois, ils multiplient par ailleurs les matchs nuls (5), pour 3 victoires seulement. Un bilan plus que moyen (Lille est 10ème) pour une équipe tout de même 3ème l'an passé et championne en 2011.
Nancy au fond du trou
Les Lorrains débutaient la saison par une victoire contre Brest (1-0) puis un match nul probant à Lille (1-1). La suite fut moins heureuse. Ils enchaînaient 6 défaites consécutives sans marquer le moindre but (triste record), pour finalement en marquer un à domicile contre Sochaux (1-1, 9ème) mais pour finalement reperdre, toujours à domicile, contre l'ogre parisien (1-0). S'ils ne sont qu'à 3 points du premier non-reléguable (Troyes, Evian, et Sochaux sont également en grande difficulté), les joueurs de Jean Fernandez affichent toutefois une dynamique synonyme d'ascenseur pour l'échaffaud.
Les autres
Comme Evian l'an passé, le promu rémois constitue pour l'instant une belle surprise. Les champennois sont 7èmes du classement. Difficile de se prononcer encore sur Rennes et Saint-Etienne, souvent irréguliers. Bordeaux vient de connaître sa première défaite à Bastia (3-1) et fait du surplace (6 matchs nuls). En reconquête, l'ancien champion, Lyon, est 4ème et n'a pas joué ce week-end (match reporté). Nice, Brest, et Ajaccio joueront le maintien.
Retours en forme
Décrié par les médias, auteur de deux saisons indigestes à l'OM alors qu'il cartonnait à Toulouse, André-Pierre Gignac semble retrouver son football en cé début de saison. Qui plus est, cela arrive à un bon moment puisqu'il dans un effectif secteur offensif olympien peu pourvu, il ne rata pas sa chance de suppléer un Loïc Rémy habituellement titulaire en pointe et souvent blessé. Buteur décisif à Montpellier (1-0, 3e journée), il inscrit 2 autres buts et réussit le doublé, toujours décisif, contre le PSG (2-2, 8ème). On dit que les grands buteurs marquent dans les matchs importants...
Passés à coté d'une grande carrière, deux anciens espoirs du football français retrouvent également goût au football. Inexistant à Liverpool (2003-2005), Anthony Le Tallec est ensuite relegué avec Sunderland (2006), Le Mans (2010), et Auxerre (2012). On espère au joueur formé au Havre (2001-2003) que le même sort ne lui arrivera pas cette saison. Il a déja inscrit pour une étonnante équipe de Valenciennes 5 buts en 6 matchs. Jérémie Aliadère a lui aussi été trimballé de club en club. Formé à Arsenal où il ne s'est jamais imposé (2001-2005), il passe ensuite par le Celtic Glasgow, West Ham, Arsenal à nouveau, Middlesbrough, se retrouve même au chômage (2010-2011) avant d'atterir à Lorient où il semble se stabiliser. Il est également auteur de 5 buts (pour 8 matchs disputés).
10ème journée (26, 27, 28 octobre)
Saint-Etienne - Rennes 2-0
Lille - Valenciennes 2-1
Nancy - PSG 0-1
Sochaux - Evian reporté
Reims - Troyes 1-1
Toulouse - Brest 3-1
Montpellier - Nice 3-1
Lorient - Valenciennes 4-4
Marseille - Lyon reporté
Classement
1.PSG 22 points
2.Toulouse 19
3.Marseille 19 (9 matchs)
4.Lyon 18 (9 matchs)
5.Saint-Etienne 15
6.Valenciennes 15
7.Reims 15
8.Bordeaux 15
9.Lorient 15
10.Lille 14
11.Bastia 14
12.Rennes 13
13.Montpellier 11
14.Ajaccio 11
15.Brest 10
16.Nice 9
17.Evian 8 (9 matchs)
18.Sochaux 7 (9 matchs)
19.Troyes 6
20.Nancy 5
Buteurs
1.Ibrahimovic (PSG) 10 buts (9 matchs)
2.Ben Yedder (Toulouse) 9 (7)
3.Aubameyang (STE) 6 (10)
4.Khlifa (Evian) 5 (6)
Le Tallec (Valenciennes) 5 (6)
Aliadière (Lorient) 5 (8)
Gomis (Lyon) 5 (9)
Gignac (Marseille) 5 (9)
Camara (Montpellier) 5 (9)
23:18 Publié dans Football | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gameiro, ligue 1 bilan 2012-2013, ancelotti, paris, ibrahimovic, gignac, aliadière, le tallec, valenciennes, montpellier, lille, nancy, lyon, bordeaux, reims, toulouse, ligue1, psg, marseille
02/01/2012
Les stations de métro les plus profondes
L'agence de presse russe RiaNovosti vient de publier la liste des stations de métro les plus profondes. Cela nous rappelle avoir noté des stations en effet très profondes (l'escalator prenait plusieurs minutes) lorsque nous empruntions les métro à Moscou et Saint-Pétersbourg. Le métro le plus profond se trouve toutefois en Ukraine, vient ensuite la Russie. Quant au métro de Shanghai (Chine), il est depuis mai 2010 le plus long au monde avec 420 kilomètres de trajet (vient ensuite Londres avec 408 km). Par pays, les USA sont premiers (1224 km), suivies de la Chine (979), normal vu la taille des pays. Toutefois, le Japon est 3ème (792) alors que sa superficie est plus petite que celle de la France, de l'Espagne...etc. En nombre de stations, New-York est n°1 (468 stations), suivie de Madrid (389) puis Paris (366). Pour rappel, le métro le plus ancien est celui de Londres (1863).
Les 5 stations les plus profondes
1.Arsenalnaïa (Kiev / Ukraine) : 105 mètres de profondeur.
2.Admiralteïskaïa (Saint-Pétersbourg / Russie) : 102.
3.Puhung (Pyongyang / Corée du Nord) : 100.
4.Park Pobedy (Moscou / Russie) : 84.
5.Portland (Washington D.C / USA) : 79.
L'infographie de RiaNovosti :
http://fr.rian.ru/infographie/20111229/192908577.html
17:38 Publié dans Liste/Classement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : métro, russie, les stations de métro les plus profondes, ukraine, corée du nord, moscou, kiev, pyongyang, états-unis, washington d.c, saint-pétersbourg, paris, new york, londres, shangai, chine, madrid, japon, espagne, france
28/11/2011
Marseille terrasse Paris
Le clasico a tourné, hier dimanche (15ème journée de Ligue 1), largement à l'avantage des Olympiens, victorieux sans bavure (3-0). Malmené en championnat, l'OM revit. Sans victoires depuis trois matchs, le PSG pourrait entrer dans sa sempiternelle crise d'automne.
L'enjeu était gros pour les deux ennemis jurés de ligue 1. Englué dans le ventre mou du classement après un début de championnat catastrophique (l'OM était bon dernier après 6 journées) (1) et défait de manière pitoyable en ligue des champions à domicile contre l'Olympiakos (mercredi dernier), Marseille avait une chance unique de se faire pardonner ses pêchés, quoi de mieux pour se reconcilier avec son public et sauver la place d'un Didier Deschamps sur la selette qu'une victoire contre un PSG dominateur depuis le début de saison ?
A Paris, ambiance plus ou moins tendue également avant cette rencontre. Une défaite innatendue à domicile contre le mal classé Nancy (1-0), après un nul à Bordeaux (1-1) rappelaient que la crise parisienne intervient généralement à cette période de l'année. Comme Deschamps, Kombouaré est au pied du mur, certains médias l'annonçant sur un siège éjectable, les émirs qataris, proprios du club, désirant ramener un entraîneur plus prestigieux. Et pour couronner le tout, les parisiens perdaient samedi soir leur place de leader au profit d'une équipe de Montpellier décidément détonante, victorieuse à Sochaux (3-1) grâce à son canonier maison, Olivier Giroud (un triplé), meilleur buteur actuel du championnat. Tous les ingrédients étaient donc réunis pour faire de la rencontre un match à gros enjeux dépassant largement la performance sur le terrain.
Sur le terrain justement, il n'a fallu que 9 minutes à Marseille pour ouvrir le score, Loïc Rémy décochant une tête croisée sur un centre impeccable d'Azpilicueta. C'est ensuite Jordan Ayew et Amalfitano qui mystifiaient une défense complètement aux abois pour finalement une belle frappe croisée du transfuge lorientais (2-0, 65e). Puis c'est encore Amalfitano qui centrait pour André Ayew qui marquait d'une tête déviée dans ses buts par Ceara (3-0, 83e). Sans rentrer dans les détails du match, une certitude est évidente, Marseille était supérieur à son rival, dans l'envie comme dans le jeu.
Au delà de l'ampleur du score, quelques enseignements sont à tirer. Même lorsqu'il est en difficulté et que son niveau de jeu est moyen, l'OM parvient toujours à se transcender contre Paris - du moins au Vélodrome - qui vient d'encaisser contre son rival sa 22ème défaite en 33 matchs de championnat. D'ailleurs, depuis la saison 2005-2006, soit 13 matchs de Ligue 1, le PSG n'a remporté que 2 matchs, pour 8 victoires olympiennes et 3 matchs nuls (2). Au rayon entraîneurs, si Didier Deschamps a désormais un sursis, Antoine Kombouaré est de plus en plus fragilisé et son éviction ne devrait pas tarder.
En tout état de cause, cette victoire psychologique d'un club moribond jusqu'ici contre un autre, dominateur (Paris est 2ème et compte 9 victoires en 15 matchs) laissera certainement des traces. L'OM a démontré hier à Paris qu'un investissement massif (150 millions d'euros "qataris" injectés) ne paye pas toujours ; il n'y a qu'à voir les notes attibuées par l'Equipe aux stars parisiennes alignées : 3 pour la "perle" argentine Pastore (insipide), même note pour Gameiro et Menez, 4 pour Nenê... seul Sissoko s'en sortant avec un très honorable 6. Côté marseillais, il faut souligner qu'aucun joueur n'est en dessous de 6, quatre joueurs affichent un 7 et le revenant Azpilicueta (3), décrochant un 8 (4).
Reste maintenant à savoir ce qui va vraiment changer du côté des deux clubs, c'est-à-dire si la crise va se poursuivre aux camps des loges et si l'OM va vraiment décoller au classement après ce gros regain de confiance. En tous les cas, Paris reste 2ème, à 3 points du leader et Marseille est à 9 points de son adveraire du jour... Mais comme les choses peuvent aller très vite en football, rien n'est sûr. Ce dernier mois de foot avant la trêve hivernale nous éclairera certainement sur la tendance à venir.
(1) Sur le début de championnat des Olympiens, voir la note suivante :
http://eklektik.hautetfort.com/archive/2011/09/19/rien-ne...
(2) Pour un détail des confrontations entre les deux clubs, voir la note suivante :
http://eklektik.hautetfort.com/archive/2011/03/23/om-psg....
(3) Il fut éloigné des terrains l'an passé pour une période de 6 mois en raison d'une rupture des ligaments croisés.
(4) http://www.lequipe.fr/Football/FootballFicheMatch34854_22...
21:44 Publié dans Football | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ligue 1, om, psg, marseille-paris 3-0, didier deschamps, antoine kombouaré, loïc rémy, amalfitano, paris, marseille, pastore, andré ayew, montpellier, gameiro, menez, néné, sissoko